Wikipédia:Oracle/semaine 50 2012

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pourquoi ya pas de biogaz dans le réseau?[modifier le code]

vue tous les avantages de ce carburant, pourquoi le biogaz n'est-il toujours pas distribué par le réseau de Gaz naturel en France? --194.51.190.172 (d) 10 décembre 2012 à 09:52 (CET)[répondre]

Il l'est peut-être. Sur le site de Gaz Réseau Distribution France, on peut lire : « Le biogaz peut être valorisé sous forme de chaleur, d'électricité, de carburant pour véhicules (bio-GNV) ou injecté dans les réseaux de gaz naturel ». L'article parle aussi des conditions nécessaires [1]. -- Xofc [me contacter] 10 décembre 2012 à 11:56 (CET)[répondre]
C'est comme dit Xofc, il est peut-être utilisé dans les réseaux de gaz de ville. En fait, c'est surtout une question d'organisation, si je me rappelle bien des villes comme Grenoble, Lille et Clermont-Ferrand le font. Et à coup sûr, il est utilisé dan nombreux des réseaux de distribution de chaleur ou d'énergie, notamment dans des parcs HLM. -O.--M.--H.- 10 décembre 2012 à 15:57 (CET)[répondre]
Le biogaz n’est toujours pas mis en place aujourd’hui car si nous devions produire du biogaz, la matière organique qui sert pour la production du biogaz ne serrait plus disponible pour régénérer l’humus du sol.--YanikB (d) 12 décembre 2012 à 20:41 (CET)[répondre]
En fait ça ne marche pas comme ça, on fait du biogaz et ça n'enlève rien à l'humus des sols, ni à la nourriture des humains ou des animaux, contrairement aux biocarburants liquides. Ledit biogaz est pour l'essentiel produit à partir des boues des stations d'épuration mais même quand produit à partir de restes agricoles, ça ne retire rien au fumier puisqu'il s'agit de recueillir et d'épurer les gaz qui se dégagent naturellement lors de la fermentation de ces déchets ou de ces restes. Et pour sa production, elle n'est pas encore suffisamment importante faute d'une restructuration des circuits de traitement des déchets mais elle se pratique de plus en plus, surtout dans les grandes agglomérations soucieuses de réduire la pollution ou/et de réduire ses dépenses en carburants. -O.--M.--H.- 14 décembre 2012 à 08:02 (CET)[répondre]
En Allemagne, où ont été inventées les usines à biogaz, le maïs est majoritairement utilisé dans les multiples usines de biogaz qui ont fleurit dans ce pays.
Nous parlerons donc de biogaz de récupération. Le Biogaz carburant de récupération et le biocarburants de récupération sont aussi une bonne option.--YanikB (d) 14 décembre 2012 à 16:45 (CET)[répondre]

Annonce d'un décès[modifier le code]

Bonjour. On peut voir dans certains films de guerre, notamment ceux qui se déroulent durant la seconde guerre mondiale, que quand un soldat meurt au combat, un soldat accompagné d'un pasteur/pretre annonce son décès à la famille. Je voulais savoir comment cela se passait, et surtout comment cela se passe actuellement, en France. Le fait-on par simple coup de téléphone ?(d'un officier, camarade, médecin, secretaire?) ou en personne. Y-a-t-il toujours un Aumonier ? Je vous remercie !--Grandissime (d) 10 décembre 2012 à 11:38 (CET)[répondre]

Actuellement, en france, c'est deux officiers de l'état major de la caserne du soldat qui se déplacent au domicile de l'épouse ou au domicile des parents du soldats si celui-ci est célibataire. Pas d'aumonier. Plus rarement, ces annonces peuvent être faite par la gendarmerie. --°o Florian 09 o° [Discuter] 10 décembre 2012 à 12:44 (CET)[répondre]

Problème de date[modifier le code]

Bonjour. Je doute de l'exactitude de la date donnée pour Le Pâtissier royal : 1810 dans Marie-Antoine Carême. Vicaire indique 1815, même année que le Pâtissier pittoresque (donc deux ouvrages importants la même année ?!). Oberlé ne dit rien de la date de la 1ère édition. Michaux ne donne aucune date... Mais dans le titre de l'ouvrage figurent les mots revue critique des grands bals de 1810 et 1811 ce qui rend impossible la date d'édition de 1810 - pour autant que le titre de la première édition comporte bien ces mots ! Or Glaire, qui donne 1810, n'indique pas le titre entier... Comment savoir... Merci pour la pythie qui trouvera une référence correcte et fiable. Égoïté (d) 10 décembre 2012 à 18:37 (CET)[répondre]

Salut Égoïté. J'ai cherché rapidement, et je suis tombé sur cette librairie en ligne qui vend des éditions du Pâtissier royal, édité par J. G. Dentu, imprimeur - libraire, en 1815, première édition d'après le commentaire. Par ici on donne la même date. --JoleK (d) 10 décembre 2012 à 18:51 (CET) Ici, la notice BNF (pour servir de source ?) : même date --JoleK (d) 10 décembre 2012 à 19:28 (CET)[répondre]
Salut JoleK et merci. J'ai pas trouvé mieux et vais donc m'en tenir à 1815... Amclt, Égoïté (d) 11 décembre 2012 à 17:18 (CET)[répondre]
… veux-tu dire par là qu'il n'y a pas de choix dans la date ? — Hautbois [canqueter] 14 décembre 2012 à 10:07 (CET) (… comment ça, éculé ? Oh ! )[répondre]

au sujet d'Alpine[modifier le code]

Alpine A106 de Chappe et Gessalin

Bonjour Pourquoi ne jamais citer Jean Gasselin au sujet de la création d'ALPINE ??? il semblerait que ce soit lui le vrai créateur de cette auto.... pour information voir l'article de Gazoline (N°112 ) de mai 2005 sur le Coach Alpine A106 Même si M.Jean Redelé est connu comme étant le créateur rendons quand même hommage a M.Gasselin... merci de votre attention

Peut-être qu'en écrivant correctement le nom Jean Gessalin au lieu de Gasselin on trouve certainement plus d'articles en rapport avec la création de Alpine, comme Alpine A106 et Chappe et Gessalin. --Doalex (d) 10 décembre 2012 à 21:13 (CET)[répondre]

Merci de votre réponse et pardon pour la double faute de frappe(impardonnable,désolé) Il est quand même a noter que la premiere Alpine n'a pas été construite pour Jean Redelé mais que celui-ci a accepté de la diffuser. merci de votre attention.

Pas de souci. Vous pouvez corriger l'article en citant l'article d'où vous tenez cette information, à l'aide du code suivant : <ref>Gazoline (N°112 ) de mai 2005 sur le Coach Alpine A106</ref>. Je vous laisse faire, pour vous donner envie de faire de même sur d'autres articles, qui sait. Bertrouf 12 décembre 2012 à 01:57 (CET)[répondre]
Le soleil de minuit à Aavasaka (vers 1801)

Dans l'article Aavasaksa (c'est une colline en Finlande) on y lit :

« elle constitue le point le plus méridional de Finlande permettant l'observation du soleil de minuit »

Mais par ailleurs :

« Elle est située [...] à quelques kilomètres au sud du cercle polaire arctique »

Comment peut-on observer le soleil de minuit au sud du cercle polaire arctique ? C'est bien les cercles polaires qui déterminent la possibilité d'avoir le soleil de minuit ? --Serged/ 11 décembre 2012 à 11:14 (CET)[répondre]

Bonjour, sans-doute du fait de sa hauteur ? (quand bien même on ne serait pas à l'intérieur du cercle polaire, être en altitude doit permettre de voir le soleil de minuit je pense, non?) Cdlt, --Floflo (d) 11 décembre 2012 à 11:19 (CET)[répondre]
Oui, bien sûr. De toutes façons, quelques kilomètres, c’est peanuts, admettons que ça soit 4 kilomètres, ça met Aavasksa à 1 seconde d’arc du cercle polaire... pas étonnant qu’en montant un peu, si l’horizon nord est dégagé, on voie le soleil de minuit. Même à Kiruna (Suède), au-delà du cercle polaire, on observe bien mieux le soleil de minuit sur les hauteurs. C’est comme n’importe où dans une région de montagne, les sommets ont de la lumière plus longtemps. rv 11 décembre 2012 à 12:23 (CET)
«… mais enfin, Madame, vous ne pouvez rien voir par cette fenêtre en face de chez vous, on ne voit que des bustes ! Pas d'exhibition la dedans. » « Ah mais si ! Ah mais si ! Si vous montez sur la commode, vous verrez qu'ils sont tous nus. »Hautbois [canqueter] 11 décembre 2012 à 12:58 (CET) @ mon Père Fouettard favori : ne me dis pas que je suis hors sujet ! Émoticône_Quoique, il s'agit de voir le soleil à minuit et non de montrer sa lune. [répondre]
Sa hauteur ? La colline est à 242m d'altitude, soit pas grand chose... Mais j'ai trouvé l'explication dans l'article Jour polaire :
« En réalité, en raison de la réfraction de la lumière du Soleil dans l’atmosphère, celui-ci est visible durant les 24 heures de la journée, au moment du solstice d’été, jusqu’à quelques dizaines de kilomètres en deçà du cercle polaire. »
--Serged/ 11 décembre 2012 à 13:20 (CET)[répondre]
À la grosse louche trigonométrique, monter de 200 mètres, c’est comme se déplacer de 50 kilomètres vers le nord (mais la plaine environnante n’est sans doute pas au niveau de la mer). Ça n’est quand-même pas pour rien que le point le plus méridional d’où on peut observer le soleil de minuit en Finlande est le sommet d’une colline plutôt que le fond d’une cuvette. rv1729 11 décembre 2012 à 21:34 (CET)[répondre]
Personnellement, j'ai vu le soleil de minuit à Akureyri, qui se trouve au-dessous du cercle polaire, le jour (ou plutôt la nuit) du solstice d'été (alors que je venais de passer trois jours à me faire suer sous la pluie à Grimsey, qui chevauche le cercle polaire, dans l'intention de l'apercevoir, sans succès). En fait, le soleil se balade à l'horizontale sur l'horizon, si je puis dire, pendant longtemps, et il n'est pas évident de dire s'il est franchement au-dessus de l'horizon, au-dessous, ou traversé par l'horizon. M'enfin, pour le contempler tranquillement, mieux vaut tout de même aller dans le nord de la Norvège (horizon marin). Oblomov2 (d) 13 décembre 2012 à 08:25 (CET)[répondre]

Ooooh, un cadeau ![modifier le code]

Bonjour, ô sage Oracle et fines pythies,
Imaginez un djeun' de 17/18 ans, dont l'avenir immédiat se résume à un combat médical de 6/12 mois +++, dans un milieu semi-isolé (> semi-stérile), mais qui dispose de toutes ses facultés intellectuelles. Que lui offririez-vous (de pas trop intello mais un peu quand même) pour l'intéresser et lui faire passer le temps intelligemment. Je précise qu'il dispose déjà de la sacro-sainte télé, d'une console de jeux et-de-tous-les-jeux-qui-vont-avec (dont il semble qu'il sera bientôt rassasié), qu'il n'aime guère la lecture et qu'on ne lui connaît pas de goût particulier.
Budget : 30/50 Euros. J'avais pensé à un abonnement à Wikipedia, mais j'ai pas l'adresse ( ...? )
Merci de toutes vos idées, même très originales : je suis complètement sec (mes enfants ont plus du double de son âge).
Et comme dit Jacquot La Baleine : "N'hésitez pas !".
Merci d'avance pour lui. Hop ! Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 11 décembre 2012 à 16:02 (CET)[répondre]

Bonjour. Si j'étais toi, je creuserais quand même du côté du livre. tu dis "guère", donc un peu. le tout est de savoir ce qu'il a déjà aimé (un peu) pour se diriger de ce côté... Interroge la famille, les copains, et lui. Bon courage, Égoïté (d) 11 décembre 2012 à 17:17 (CET)[répondre]
Même idée qu'Égoïté. C'est peut-être l'occasion de découvrir les joies de la lecture : activité saine, reposante, enrichissante, divertissante. Bref, idéale dans ce genre de situation où l'on a du temps (je suis en train de découvrir Moby Dick, par exemple, et j'ai déjà envie de le conseiller à tout le monde). Sinon, vu qu'il a l'air joueur, ce peut-être l'occasion de se mettre au jeu de go, jeu absolument passionnant, plus complexe et plus intéressant, à mon sens, que les échecs (bien qu'avec des règles de base plus simples). Évidemment, cela nécessite un partenaire. Mais outre que quelqu'un dans son entourage peut éventuellement s'y mettre par la même occasion, il est possible de jouer en ligne. Offrir un goban, des pierres et un livre d'initiation peut être un beau cadeau. --JoleK (d) 11 décembre 2012 à 18:12 (CET)[répondre]
Bonjour, s'il n'a pas un accès à internet mais tout de même un ordinateur, à défaut d'abonnement wikipédia (qui n'existe pas) il y a la possibilité d'avoir wikipédia sur une clef usb en la fabricant vous-même ou en l'achetant. --Epsilon0 ε0 11 décembre 2012 à 19:19 (CET)[répondre]
L'origami. Ça occupe les mains, et l'esprit. Et bon je sais que ça fait vieux jeune, mais les livres dont vous êtes le héros, c'est pas toujours de qualité mais ce fut ma porte d'entrée dans le monde du livre Livre-jeu. (ah oui et pour l'evasion c'est top, c'est prenant mais pas passif :)). Eystein (d) 11 décembre 2012 à 21:18 (CET)[répondre]
Une enveloppe contenant une carte postale avec un mot gentil au dos, et un billet bleu et un billet rouge. --Rene1596 (d) 11 décembre 2012 à 21:38 (CET)[répondre]
J'ai oublié : de la musique ! à condition qu'il puisse en écouter ou qu'il ait le matos nécessaire... à voir ce qu'il aime aussi -mais on peut bousculer un peu les choix : dans ces conditions de vie-là, il arrive qu'on soit réceptif à d'autres styles - La gaité parisienne d'Offenbach donne de la joie de vivre, par exemple). ET de la danse en vidéo ou autre système possible. il y a de ces films... je pense à Carmen (film, 1983) par exemple : je n'ai JAMAIS (je ne crie pas, je surligne fortement) rencontré quelqu'un qui ne s'intéresse pas du tout à la danse et qui ne l'ait aimé (après que j'aie décidé qu'il le verrait, évidemment ^_^). Égoïté (d) 11 décembre 2012 à 22:47 (CET) P.S. Ou bien un carnet et un bon bic - noter ce qu'on ressent, ce qu'on vit, ça peut soulager et qui sait ? développer l'idée d'écrire... Je n'ose ajouter lire la bio de Littré, c'est un peu particulier mais je l'ai découvert, le Monsieur, à l'hosto, justement. Et je l'ai dévoré (le livre, puis le dico) - conflit d'éd.[répondre]
Et puis le truc tout bête : une peluche ! toute douce, si douce, marrante, bizarre, mais douce... Je reste effarée de voir des jeunes de 20 et 21 ans (qui me sont proches et que je connais bien) craquer (encore) pour des peluches... Égoïté (d) 11 décembre 2012 à 22:50 (CET)[répondre]
CQui (d) Un instrument de musique, a 30-50€ c'est un peu limité, une guitare d'occase par exemple. Je suis sur que des pythies sauront indiquer des sites internet gratuis pour aprendre... --12 décembre 2012 à 09:07 (CET)[répondre]
Un jeu de scrabble avec le dictionnaire officiel du scrabble, un jeu d'échecs, un lapin Nabaztag... Cymbella (répondre) - 12 décembre 2012 à 11:47 (CET)[répondre]

Bonsoir,fines pythies et Seigneur du Haut Racle,
Merci déjà infiniment de toutes vos idées. Vous pouvez continuer vos propositions, car je n'irai pas le visiter avant la semaine prochaine au mieux. L'idée du Go est un peu ambitieuse, mais je penche pour l'awele, si j'en trouve un à vendre. L'idée 'un instrument de musique m'est également apparue, mais pour avoir récemment cherché une (bonne) guitare d'occasion, je sais mon budget trop étriqué. Un piano,peut-être ?
Je renonce d'avance à la tentation de la lecture, par expérience. Mais ça s'oriente bien également avec les Livre Dont Vous Etes Le Héros. Ou un simulateur de vol (X-planes, évidemment, pas l'autre, évidemment, halte aux monopoles !). Mais continuez de NHP, je cherche toujours l'idée fulguratrice.
A tous : merci déjà comme dit une "pilière" de cette page qui se reconnaîtra.
Et Hop ! déjà aussi. Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 12 décembre 2012 à 19:58 (CET)[répondre]

Je regarde un peu ce fil : S'il est "à l'isolement", un jeux, de type awele, scrabble etc., c'est bien, mais ils pêchent par un gros défaut : Il faut être (au moins) deux pour jouer ! --Serged/ 13 décembre 2012 à 07:28 (CET)[répondre]
Ben non, au scrabble on peut jouer seul selon le principe du Scrabble duplicate, il y a même des parties tirées qu'on peut rejouer. Pour les échecs, il existe des jeux électroniques où l'on joue contre la machine à divers niveaux de difficulté ! Rien n'empêche non plus de jouer avec (ou contre) un visiteur qui se trouve de l'autre côté de la vitre ! - Cymbella (répondre) - 13 décembre 2012 à 23:20 (CET)[répondre]

Bonsoir,
Quand je disais les 'fines' pythies... Serged a tapé dans le mille. En fait, l'enfant est confiné dans un milieu contrôlé, mais il peut recevoir des visiteurs au préalable décrassées des saletés que nous emportons en permanence avec nous (cheveux, habits, etc) et de plus sont équipés d'un masque empêchant les projections inapropriées (éternuements, etc...). De plus (effectivement Cymbella) on peut jouer contre soi-même à certains de ces jeux 'sociaux', ce sont même des parties particulièrement formatrices.
En tous cas, merci (déjà !) à toutes les finnpytis, de votre intérêt pour cette question.
Hop ! Kikuyu3 Sous l'Arbre à palabres 17 décembre 2012 à 18:22 (CET)[répondre]

Décrétale versus bulle pontificale[modifier le code]

Bjr Oracle. Peux-tu me déperplexer ? Quelle est la différence entre une décrétale et une bulle pontificale ? Par exemple la bulle in Nomine domini de 1059 est également appelée décretale Euh ?.Salsero35 11 décembre 2012 à 22:41 (CET)[répondre]

Une décrétale concerne généralement l'administration ecclésiale et s'adresse principalement au clergé. La bulle est à diffusion universelle et s'adresse également aux fidèles et aux païens. Mais, selon le sujet, rien n'empêche de faire parfois d'une décrétale une bulle... --Mistig (d) 12 décembre 2012 à 18:31 (CET)[répondre]
Merci, je m'en vais de ce pas apporter la précision. Salsero35 13 décembre 2012 à 13:20 (CET)[répondre]

Le père Noël[modifier le code]

Bonjour, Je voudrais savoir où esr situé le père Noël dans la religion catholique, es ce une représentation religieuse ou profane, merci. Cordialement

Bonjour,
Le père Noël n'existe pas dans la religion chrétienne. Seuls les rois Mages (6 janviers) et Saint Nicolas (6 décembre) s'en rapprochent, mais sous des aspects et des traditions différentes. Le père Noël est une synthèse commerciale de ces deux traditions catholiques et protestantes. Notez que le père noël porte les jouets au pied d'un sapin, qui lui est clairement profane, il célèbre l’hiver (du nord de l’Europe) le 21 décembre mais est bien entendu hors de propos à Bethléem. v_atekor (d) 12 décembre 2012 à 15:46 (CET)[répondre]
A noter, que la tradition de saint-Nicolas, est elle même le remplacement par l'église d'une fête païenne par un saint chrétien : « En Europe, les rituels liés à l’approche de l’hiver sont ancestraux. Au Moyen Âge, l’Église catholique décide de remplacer les figures païennes par des saints. Par le nom de « saint Nicolas », elle désigne Nicolas de Myre, ... » v_atekor (d) 12 décembre 2012 à 16:02 (CET)[répondre]
Pour résumer : syncrétisme. Salsero35 12 décembre 2012 à 16:08 (CET)[répondre]
Le père noël en anglais c'est Saint Nicolas, voir en:Santa Claus. Biem (d) 14 décembre 2012 à 08:41 (CET).[répondre]
oui et non, voir supra ; d'ailleurs ça ne change pas vraiment la réponse : « ... est un personnage aux origines légendaires, mythiques, historiques et folkloriques dans de nombreuses cultures occidentales... » ; certes, mais nulle mention d'une origine religieuse. Je lis un peu plus bas : la première inspiration est Saint Nicolas... laissant à penser qu'il y a plus d'une inspiration, ce qui est le cas : De nombreux parallèles avec le personnage de la mythologie germanique Odin, logique aussi, mais pas chrétien pour un sous : folklorique et païen ; d'ailleurs nul n'est surpris d'apprendre que Odin est fêté pour le 21 décembre, pour le jour de l'hiver et à 3 jours du père Noël. Bref, on est bien dans un syncrétisme total, mélangeant toutes les influences pour créer un personnage et une tradition nouvelle. Par contre personnage religieux chrétien : clairement, non. v_atekor (d) 14 décembre 2012 à 10:08 (CET)[répondre]

Notoriété photographe[modifier le code]

Bonjour

Je suis auteur et photographe, j'ai exposé déjà en Arles (entre autres), comment faire pour être référencé sur Wikipédia ? J'ai beaucoup de références sur internet, mais je n'apparait pas sur wiki ?

Merci d'avance !

Donnadieu Rémy auteur Photographe — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Emyr26 (discuter), le 13 décembre 2012 à 13:51‎

Bonjour,
Il faut répondre à la question suivante : est-ce qu'il y a des médias d'importance nationale qui ont consacré des articles à vos travaux ? Si oui, ça semble possible, si non, non. Voir Wikipédia:Notoriété des personnes et Wikipédia:Notoriété des arts visuels. --MGuf (d) 13 décembre 2012 à 15:43 (CET)[répondre]
Voir aussi Wikipédia:Autobiographie, et se rappeler qu'il est plus simple de rentrer dans Wikipédia si on est sportif plutôt qu'artiste... --Serged/ 13 décembre 2012 à 16:23 (CET) De là à croire que Wikipédia est une affaire de physique... Émoticône --JoleK (d) 14 décembre 2012 à 00:13 (CET)[répondre]

Masters en Physiopatho[modifier le code]

Question récupérée de la semaine 49 - Mitch-Mitch 14 décembre 2012 à 08:38 (CET)[répondre]

Bonsoir l'Oracle,
je voudrais savoir : est-il nécessaire d'avoir fait médecine/pharma/ingéniorat...pour intégrer un cursus type master en physiopathologie ? Est-ce que certaines facs acceptent des étudiants venant de cursus plus "classiques" ? (comme sciences de la vie, chimie, etc...). Si oui, lesquelles ? Parce que là je trouve pas.
Merci pour ton aide, Oracle !

— Le message qui précède, non signé, a été déposé par POMPIERS (discuter)

Je ne vois absolument aucune raison qu’il y ait des facs qui refusent des étudiants ayant un L3 de biologie pour une telle formation. Bon, je tape dans Google, master physiopathologie, le premier qui sort est celui de Strasbourg, je regarde les conditions d’admission : [2]. Eh bien voilà. Ce Master recrute sur des licences de biologie ou biochimie. Vous êtes sûr que vous avez cherché ? rv1729 14 décembre 2012 à 11:09 (CET)[répondre]
… + celui de Sorbonne-Universités (on peut leur écrire). Publics visés : « Etudiants de l’UPMC titulaire d’une licence de sciences et technologie mention sciences de la vie, voire d’étudiants de licence d’autres université n’ayant pas le choix de cette spécialité… »Hautbois [canqueter] 14 décembre 2012 à 11:26 (CET)[répondre]
J’insiste : c’est sans doute le cas de tous. rv1729 14 décembre 2012 à 14:56 (CET)[répondre]
… c'est évident. — Hautbois [canqueter] 14 décembre 2012 à 15:56 (CET)[répondre]

Recherche livres de listes de personnes sur divers ordres de chevalerie au Maghreb[modifier le code]

Bonjour Messieurs,

Je suis à la recherche d'un site où je pourrais trouver des livres récapitulant les noms des personnes qui ont reçu divers insignes d'ordre de chevalerie au Maghreb.

EX : Mon Grand-Père : Chevalier de l'Académie Française

Chevalier du Ouissam Alaouite
Chevalier du Nichan Iftikhar

Avec tous mes remerciements pour votre aidre.

NB : il y a un article 'Ordre du Ouissam El Alaouite', un article 'Nichan Iftikhar' et un article 'Ordre des Palmes académiques'. Cela ne répond pas à la question mais donne peut-être des pistes (?). -- Xofc [me contacter] 14 décembre 2012 à 17:48 (CET)[répondre]

Définition d'une droite au bon temps des "maths modernes" ?[modifier le code]

Bonjour chers omni-répondeurs. Je recherche une définition de la droite du genre : " Ensemble des points M invariants par la transformation machin qui à tout "blabla" associe ...." qui était enseignée dans les programmes de maths des collèges dans les années 70 en France. Je ne l'ai pas trouvée par Google. Je l'avais lue dans un livre du genre "Le bonheur d'apprendre, et comment on l'assassine" de François de Closets. En résumé, je cherche : 1) Cette définition (que je ne comprenais pas, je précise que j'étais prof de maths). 2) Et les livres ou sites où on peut la trouver. Je vous remercie pour votre attention. --Joël DESHAIES (d) 15 décembre 2012 à 05:34 (CET)[répondre]

Tu peux déjà faire un tour sur Droite (mathématiques) et choisir ta définition... --Serged/ 15 décembre 2012 à 10:15 (CET)[répondre]
On m’a rapporté une définition très élégante mais très évidemment inadaptée à l’enseignement en collège : une droite affine est un ensemble de points muni d'une famille de bijections avec l'ensemble des réels, telle que la composée de l'inverse d'une de ces bijections avec une autre de ces bijections est une transformation .
SGDG. rv1729 15 décembre 2012 à 14:11 (CET)[répondre]
Ma définition a subit les déformations du téléphone arabe (d’ailleurs il est évident qu’il en manque un bout)... mais l’esprit est là. Un simple googlage m’amène ici : [3], cf définition page 12.
Que cette définition soit incompréhensible pour les élèves paraît évident, qu’elle l’ait été pour certains profs me laisse songeur. rv1729 15 décembre 2012 à 14:15 (CET)[répondre]
RV, il manque manifestement une condition à ta définition : si on la prends au pied de la lettre, n'importe quel machin que l'on peut mettre en bijection avec une droite (par exemple le Flocon de Koch) est également une droite (il suffit de composer les bijections Réel<->Droite et Droite<->Machin pour obtenir la famille répondant à la "définition"), ça n'a pas de sens. Cordialement, Biem (d) 16 décembre 2012 à 09:14 (CET)[répondre]
Comme je le dis plus bas, il s’agit en effet plutôt de la définition d’une structure de droite affine sur un ensemble de points, ce qui est parfaitement sensé. Cordialement, rv1729 16 décembre 2012 à 21:53 (CET)[répondre]
Mais la définition enseignée à l'époque n'était-elle pas plutôt celle-ci ? On conserve le même esprit mais la formulation est un petit peu moins rébarbative. Stocha (d) 17 décembre 2012 à 13:10 (CET)[répondre]
Pour ce qui était la « définition historique » je ne sais pas, mais ce document montre bien que la définition proposée dans l'énoncé même de la colle est incohérente par rapport à la solution proposée. Que ce soit dans le sens "démonstration directe" ou "réciproque", il se fonde sur la distance euclidienne, qui n'est contenue nulle part dans la définition - évidemment, en rajoutant la distance euclidienne et en imposant que la bijection en question se déduise d'une distance, on peut à la fois définir une graduation sur une droite, et définir une droite comme lieu de la plus courte distance entre deux quelconques de ses points - mais ce sont des hypothèses fortes, que rien ne justifie dans l'énoncé, et une fois que l'on a une distance euclidienne il n'est pas nécessaire de passer par ces bijections pour définir la droite. Le "corrigé" cherche à démontrer (en gros) que tout "ensemble D d'éléments dits points, muni d'une bijection g de D dans R" est une droite au sens usuel du terme (plus court chemin d'un point à un autre), mais c'est pathétique et sans espoir sans ces hypothèses supplémentaires : le contre-exemple est trivial, on peut tout aussi bien faire une bijection du Flocon de Koch sur R sans que ce machin soit une droite dans le sens que suppose sa "démonstration". Manifestement, la définition est issue d'un délire de psittacisme ayant mal compris Bourbaki, considérer qu'une telle définition est celle d'une droite relève du "wishfull thinking", et la démonstration proposée prend ses désirs/délires pour une réalité. Cordialement, Biem (d) 17 décembre 2012 à 17:28 (CET) J'ai mis le lien juste pour la définition (qui semblerait être la version historique, celle que Mitterand aurait raillé. Et peut-être celle que cherchait Joël DESHAIES ?), pas pour mettre en avant la "démonstration" : je suis bien d'accord que cet énoncé, bien que plus clair que l'autre, ne définit toujours pas une droite (au sens usuel). Stocha (d) 17 décembre 2012 à 19:11 (CET) [répondre]
Je ne pense pas que ça soit ce que cherche à établir Xavier Dupré, non. Il serait bon que tu arrêtes de penser que les autres sont des ahuris oligocéphales imperméables à l’évidence, que tu es le seul à « avoir compris Bourbaki » (pété de rire, là) et que tu essaies de comprendre ce qu’ils font et ce qu’ils disent, au lieu de partir en vrille comme ça. Cordialement, rv1729 17 décembre 2012 à 21:21 (CET)[répondre]
Ça c'est un argument sensé ^_^ : en quoi discutes-tu le sujet initial ? C'est juste un argument d'autorité et/ou de dénigrement de l'adversaire : en quoi espères-tu gagner une quelconque crédibilité par une intervention pareille ? J'ai dis ce que j'avais à dire sur le sujet, apparemment tu es à bout d'argument, pour te rabaisser à attaquer l'intervenant au lieu d'intervenir pour compléter les explications sur le sujet lui-même ? Biem (d) 17 décembre 2012 à 21:29 (CET)[répondre]
Xavier Dupré a donné un exercice de colle sur le sujet, tel qu'il l'a trouvé, et en a fait ce qu'il a pu. Mon "corrigé" est que la définition initiale est incohérente avec le "corrigé" qu'il en donne - as-tu quelque chose de mathématiquement construit à argumenter sur ma correction ?
Mon interprétation d'ensemble est qu'il s'est laissé piéger par une définition incorrecte et abusivement reproduite. Maintenant, si tu me sites une publication admissible au sens de wikipédia, peer reviewed, tout ça, (genre, les annales de Bourbaki?) où cette définition a été produite et où on pourra la discuter, on pourra en discuter sur le fond. Dans l'état actuel de la discussion, tout porte à croire que c'est une définition incomplète qui a été reproduite abusivement par des intervenants qui n'y comprenaient rien. Autrement dit, mathématiquement et jusqu'à preuve du contraire, une telle définition est du grand n'importe quoi et c'est tout, il n'y a pas à en discuter plus avant - jusqu'à preuve du contraire. As-tu une preuve du contraire ?
Cordialement et mathématiquement, Biem (d) 17 décembre 2012 à 21:59 (CET)[répondre]
C’est moi qui dénigre ? J’ai donné des commentaires sensés, plusieurs fois ; tu n’as fait qu’éructer des invectives, plusieurs fois. Cordialement, rv1729 17 décembre 2012 à 22:29 (CET)[répondre]
Allez, ne nous énervons pas ! Un peu d’humilité et de retenue dans les propos ferait du bien des deux côtés. Hervé, je comprends ta réaction, mais « pété de rire », c’est pas non plus ce qu’on fait de plus doux en communication. Biem, comprends que nous aussi on a dit ce qu’on avait à dire sur le sujet, et que le fait qu’on ne soit pas parvenu à te convaincre ne signifie pas nécessairement qu’on ait tort, et qu’à force de traiter les gens de fumistes et d’idiots, il est compréhensible de recevoir des propos agressifs en retour. Sinon, j’adore les messages agressifs qui se terminent par un « cordialement »... Grasyop 17 décembre 2012 à 22:43 (CET)[répondre]
Sur la colle de Dupré, Hervé a raison. Tout ce que propose Dupré, c’est une illustration dans R² facilitant la compréhension de la définition donnée en introduction. Il ne prétend pas démontrer cette définition. (Comment pourrait-on d’ailleurs démontrer une définition ?!) La colle s’intitule d’ailleurs bien « exercices autour de la définition [...] ». Grasyop 17 décembre 2012 à 23:43 (CET)[répondre]

Rien au sujet de Mike Bernardo ?[modifier le code]

Bonjour à toute l'équipe ! :) Étant un grand fan de la boxe et du K1, je vais souvent sur Wikipédia pour connaitre un peu plus mes grands idoles. En revanche, impossible de trouver la biographie, l'histoire d'un grand boxeur sud-africain, Mike Bernardo. Je pense qu'il a sa place ici, ce n'est que mon humble avis !

Merci d'avance pour votre réponse, et merci à tous pour ce site génial.

En effet, rien sur Wikipédia en français... Tu peux créer l'article Michael Bernardo, des informations sont présentes notamment sur Wikipédia en anglais : Michael "Mike" Bernardo. --MGuf (d) 15 décembre 2012 à 14:40 (CET)[répondre]

Qui comprend la définition d’une droite de 1971 ?[modifier le code]

Bonjour chers GéotrouvetouX. Cette question n’est pas encyclopédique, c’est une sorte de sondage. Elle fait suite à ma question, quasiment précédente, sur une certaine définition de la droite géométrique dans les années 70 en France. Je remercie rv d’avoir trouvé celle que je cherchais et que voici :

Par définition une droite affine D est un ensemble E muni d’une famille Φ de bijections de E sur R telles que

a) pour tout f élément de Φ, et pour tout élément (a,b) de R*x R, l’application définie par g(M) = a f(M) + b appartient aussi à Φ

b) réciproquement si f1 et f2 sont deux éléments quelconques de Φ, il existe (a,b) appartenant à R* x R tel que f2(M) = a f1(M) + b.

L’ensemble E est appelé le support de la droite affine D, un élément M de E est appelé un point de la droite affine D. (Commentaires du Programme de 4°) (décembre 1971)

J’attire votre attention sur le fait que c’est un commentaire du programme. Le programme était-il encore moins clair ? J’ai été prof de maths en lycée à partir de 1991 et parfois nous nous demandions entre collègues de maths et de physique si nous comprenions cette définition (passée aux oubliettes des maths modernes depuis longtemps), les avis étaient partagés. A ma question ci-dessus, rv précise dans sa réponse : “Que cette définition soit incompréhensible pour les élèves paraît évident, qu’elle l’ait été pour certains profs me laisse songeur.” Moi, c’est cette remarque de rv qui me laisse songeur. Nous étions tous à bac+4+CAPES ou agrégation mais certains, dont moi, ne la comprenions pas.

Question : Qui la comprend ? (je ne vous demande pas de l’expliquer).

Puisque l’Oracle est ouvert à l’humour, je vous invite à vous lâcher ou sur ces fichus profs incapables de comprendre une simple définition, ou sur les rédacteurs de cette définition. Je vous remercie.--Joël DESHAIES (d) 15 décembre 2012 à 18:56 (CET)[répondre]

J'ai failli laisser un commentaire sur le précédent message, j'en profite donc volontiers ici. La définition de rv ne me posait pas de problème particulier, hormis le terme bijection (j'ai pas cherché mais ça me fait penser aux coordonnées, abscisse et ordonnée). Un peu pareil pour la définition de 71, plus facile à comprendre après avoir eu celle d'rv, il est vrai, à cause de la notation inhabituelle et complexe. Je ne saurais en expliquer toutes les subtilités mais sinon, tout ça me paraît clair : une droite est définie sous la forme d'une fonction affine. Il me semble que ces fonctions sont au programme dès la 4ème. Une fois qu'on a compris le lien entre la fonction et le résultat graphique, je ne vois pas où serait le problème. A moins que quelque chose d'autre ne m'échappe. Je précise que je suis allé jusqu'en terminale S, que j'ai bifurqué des sciences dures après et que c'était il y a plus d'une décennie. Mais bien après mon bac, je me suis rendu compte que, justement, le fait, que tout (?) ce qu'on écrit sous forme algébrique a son pendant sous forme graphique, était mal ou peu mis en valeur dans l'enseignement des maths. Et qu'il y a beaucoup plus de correspondances entre géométrie et algèbre qu'on ne l'explique aux élèves (voir algèbre géométrique par exemple). À mon humble avis, si c'était plus exploité, les maths seraient plus faciles ou ludiques à comprendre. Cdt. --JoleK (d) 15 décembre 2012 à 19:12 (CET)[répondre]
J'avoue que je n'ai pas cherché à la comprendre mais je pense qu'avec un petit effort ça serait possible ... MAIS me saute au préalable aux yeux que dans le point 2/ (reproduction exacte du lien donné) il y a sans doute un petit a (comme dirait Lacan ;-)) qui a sauté Au pif je le mettrai bien de cette manière "... il existe (a,b) appartenant à R* x R tel que f2(M) = a.f1(M) + b." puis tenterai de voir si c'est correct. Fin de mon contrôle de surface comme on dit en informatique. --Epsilon0 ε0 15 décembre 2012 à 21:07 (CET)[répondre]
J’ai fait cette correction dans le texte ci-dessus d’instinct, avant même de t’avoir lu...
Bon, sérieusement, cette définition est formelle à l’excès ; elle définit d’ailleurs ce que j’appellerais plutôt un ensemble muni d’une structure de droite affine qu’une droite affine ; et enfin, et surtout, elle paraît totalement impropre à donner une idée de la droite affine à quelqu’un qui ignorerait ce que c’est. Cependant, sa compréhension pour un prof de maths (donc quelqu’un qui a fait des maths au niveau bac + n, avec 3 ≤ n ≤ 5 je dirais, et qui sait déjà ce que c’est qu’une droite affine, et ne doit pas s’effarer d’un ensemble de bijections, d’un « pour tout a, b » et d’un « il existe a, b ») ne me paraît pas devoir poser de problème insurmontable — que cela puisse demander un peu de réflexion est une chose. Bref, qu’il ait été à la mode en salle des profs, en réaction à l’ineptie verbeuse de la réforme Lichnerowicz, de prétendre que ces définitions étaient inaccessibles aux enseignants eux-même est une chose, qu’elles l’aient vraiment été en est une autre.
En passant, ceux qui sont déjà tombés sur les bouquins de « maths élems » qui ont servi à faire passer le bac avant cette réforme, savent que si le formalisme était peut-être moins poussé le niveau demandé était néanmoins élevé, et que les profs en place au moment de la réforme étaient armés pour comprendre. rv1729 15 décembre 2012 à 21:49 (CET) En fait je pense que la bonne définition partirait d’une famille Φ de bijections de D sur D, et considérerait l’existence d’un isomorphisme entre Φ et Ψ : les bijections de R sur R de la forme , isomorphisme pour la structure donnée par la composition des bijections... là ça commence à fumer grave... En fait la bonne définition se placerait d’emblée dans le formalisme des catégories Émoticône[répondre]
Rassure-toi, je suis prof de maths, et je n’ai pas compris immédiatement de quoi il s’agissait. En fait, comme dit Hervé, c’est la définition d’un ensemble muni d’une structure de droite affine (en résumé, on gradue un ensemble de points, à transformation affine près). Il ne s’agit pas de la définition d’une droite comme partie d’un plan ou espace plus grand. En particulier, pas d’intersections de droites avec cette définition...
Ce qui s’en rapproche le plus, dans les programmes scolaires actuels, ce n’est donc pas du tout la droite dans le cadre de la géométrie plane ou spatiale, mais plutôt ce qu’on appelle la "droite réelle" : représentation de R sous la forme d’une droite graduée.
Grasyop 16 décembre 2012 à 08:30 (CET)[répondre]

La « définition » est fausse, voir la remarque faite à RV dans la section précédente : si on la prends au pied de la lettre, n'importe quel machin que l'on peut mettre en bijection avec une droite (par exemple le Flocon de Koch) est également une droite (il suffit de composer les bijections Réel<->Droite et Droite<->Machin pour obtenir la famille répondant à la "définition"), ça n'a pas de sens. Ou alors, ça veut dire que n'importe quel ensemble de points ayant la puissance du continu est une droite : qu'est-ce que c'est que ce délire ? Et donc, pour répondre à la question, oui je comprends ce que ça veut dire - c'est faux. Une définition ne faisant intervenir qu'une bijection de la droite sur R ne peut pas fonctionner, on ne peut pas faire une définition d'une droite sans d'une manière ou d'une autre faire intervenir des couples de points de cette droite, et leur relation avec une direction (ou leur composition barycentrique). Cordialement, Biem (d) 16 décembre 2012 à 09:29 (CET)[répondre]

Ce qui suit n’est pas sérieux (quoique) : Pour moi, une droite est le résultat obtenu en faisant suivre par le bout de mon crayon le bord d’une règle pas trop abîmée par des jeux d’escrime en cour de récré (ce qui, pour moi, se produit de plus en plus raremrnt). C’est alors que je me demande : la règle, comment l’a-t-on fabriquée, pour qu’elle soit bien droite ? Avec une autre règle, bien sûr. Mais alors… qui a fabriqué la première règle ? Qui a inventé la droite ? Morburre (d) 16 décembre 2012 à 09:39 (CET)[répondre]
Euh, la première droite, elle a probablement été tracée au cordeau. --le sourcier 16 décembre 2012 à 15:29 (CET) La première droite est sans doute venue s'abattre sur la figure du premier ennemi. Émoticône --JoleK (d) 16 décembre 2012 à 15:45 (CET) -- Ben non, ça c'était une parabole. --le sourcier 16 décembre 2012 à 16:28 (CET)[répondre]
Qui a inventé la première règle : c'est probablement le Polissoir (archéologie), correspondant à la définition d'une règle comme invariant géométrique par une translation suivant sa direction. Cordialement, Biem (d) 16 décembre 2012 à 09:59 (CET)[répondre]
A la réflexion, mettre « par définition » une droite en bijection avec les réels ne peut pas être une bonne approche : si le plan sous-jacent sur lequel on dessine n'est pas RxR mais QxQ (points à coordonnées rationnelles, à la grecque en quelque sorte), une droite peut avoir tous ses points bien alignés et se composant par barycentres (rationnels), mais n'en avoir donc qu'un nombre dénombrable (donc impossible à mettre en bijection avec R ... ^_^). Biem (d) 16 décembre 2012 à 09:49 (CET)[répondre]
« n'importe quel ensemble de points ayant la puissance du continu [peut être muni d’une structure de] droite » : c’est bien ce qu’ils veulent dire. C’est une notion abstraite de droite, pas du tout géométrique. Grasyop 16 décembre 2012 à 10:17 (CET)[répondre]
Sauf que la structure en question se limite à dire concrètement qu'on peut mettre l'ensemble en bijection avec R (du moment qu'on peut le faire on peut coller une famille de bijections construites de R dans R suivant la "définition" et composer avec la première) ça n'a rien de sélectif et on ne peut rien faire avec sur le plan déductif. Donc ça n'est pas ça (ou alors c'est idiot et/ou de la fumisterie). Et de toute manière c'est également faux dans l'autre sens : il n'y a pas besoin d'avoir la puissance du continu pour avoir une structure de droite, voir mon exemple ci-dessus sur QxQ. Biem (d) 16 décembre 2012 à 11:07 (CET)[répondre]
C’est les maths modernes... Grasyop 16 décembre 2012 à 11:15 (CET)[répondre]
Pour répondre quand même : cette définition ne distingue pas certains ensembles de points parmi d’autres, qui seraient des droites (n’importe quel ensemble ayant la puissance du continu convient, et les points eux-mêmes ne sont pas forcément à comprendre dans un sens géométrique). En revanche, un tel ensemble E étant considéré, poser une structure de droite sur cet ensemble E, c’est faire le choix d’une famille particulière de bijections parmi de nombreuses familles possibles (répondant aux conditions données).
Après, que peut-on faire de ça... je me demande bien ! Grasyop 16 décembre 2012 à 11:35 (CET)[répondre]
Tu n'as pas retenu la leçon de Bourbaki : il n'y a qu'une seule mathématique. Si quelque chose est mathématiquement débile, c'est le cas aussi bien en maths dites modernes. En l'occurrence, la définition ne dit rien de particulier sur l'ensemble D qu'elle est sensée caractériser (à part imposer qu'il a la puissance du continu), mais ne fait qu'imposer une petite contrainte sur une famille de bijections - pas sur l'ensemble, mais sur les bijections - louche. En quoi est-ce que ça caractérise un ensemble de points, et en quoi cette famille de bijection donne aux points une quelconque structure ? Non, c'est bien une définition erronée - ou alors ceux qui prétendent enseigner ça comme quelque chose de correct sont de fieffés fumistes. Qu'est-ce que c'est, une « structure de droite » ? C'est du même niveau que de donner au terme "droite" la définition d'un espace vectoriel, et prétendre que du coup tout espace vectoriel est une droite : quel intérêt mathématique ? Et quel intérêt pédagogique ? Biem (d) 16 décembre 2012 à 12:03 (CET)[répondre]
J’imagine que c’est justement Bourbaki qui est à l’origine de cette définition.
Cette définition ne caractérise pas, et ne prétend pas caractériser, des ensembles de points qui constitueraient des droites à l’intérieur d’un ensemble plus grand comme par exemple un plan (c’est bien ce que j’ai déjà dit plus haut, non ?). Tout ce qu’elle fait, c’est de dire qu’on définit une structure de droite sur un ensemble E en y transportant la structure de R par une bijection (et à transformation affine près).
Illustration (je ne sais pas si ça aidera, mais espérons... ) : imaginez une courbe E (on pourrait prendre n’importe quel ensemble ayant la puissance du continu), que vous graduez (bijection entre E et R) de façon irrégulière, et même avec des coupures. Remplacer cette bijection par une autre de la même famille préservera ces (ir)régularités et coupures (ça ne fait qu’un changement d’échelle et un ajout dans les nombres associés à chaque point). Elles pourront disparaître, en revanche, si on utilise une bijection qui n’est pas liée à la première par une transformation affine. Choisir une famille de bijections entre E et R, c’est donc choisir ces (ir)régularités et coupures, c’est-à-dire poser une structure particulière sur cette courbe.
Après, à quoi ça peut servir ? Je vous dis : je n’en sais rien. Et je suis bien d’accord pour dire que ça n’a pas sa place dans un programme de collège ou de lycée.
Grasyop 16 décembre 2012 à 13:48 (CET)[répondre]
Un exemple d’utilisation : cette structure permet de définir le "rapport algébrique" (j’ignore si ça porte un nom) CD/AB pour tous points A,B,C,D de l’ensemble E : en effet, la quantité (Φ(D)-Φ(C))/(Φ(B)-Φ(A)) ne dépend pas de la fonction Φ choisie parmi les bijections de la structure. Grasyop 16 décembre 2012 à 14:45 (CET)[répondre]
On est presque d'accord, en fait. Effectivement, le machin ci-dessus ne prétend pas caractériser un ensemble de points, mais défini sur un ensemble quelconque (qui doit avoir la puissance du continu) une "graduation" ( = correspondance à R à une origine et une échelle près). Ce que tu appelles "structure de droite", c'est une graduation en langage commun.
Là où je ne peux pas être d'accord, c'est que si, la définition prétend caractériser quel type d'ensemble de points peut être qualifié de "droite" : elle commence bien par "Par définition une droite affine D est un ensemble E muni..." et en conclusion n'importe quel ensemble de point ayant la puissance du continu peut d'après cette définition être qualifié de "droite" (parce qu'on peut le graduer, donc).
Mais ce n'est pas parce que une droite peut (généralement) être graduée, et que la graduation est une structure naturelle pour une droite, que tout ce qui peut être gradué est de ce fait une droite : là c'est un sophisme, ce n'est plus de la mathématique. C'est en cela que la définition est fausse, elle définit une graduation sous le nom de "structure de droite" (pourquoi pas), mais ne définit pas en amont ce qu'est cette droite.
Et d'autre part, les math modernes se complaisent à des constructions intellectuelles comme des géométries sur des ensembles finis de points, où des "droites" sont définies et souvent limitées à deux ou trois points - de toute évidence de telles droites ne peuvent pas supporter une bijection avec R, donc n'ont pas cette "structure de droite" qui en est soi-disant la définition.
Apparemment l'idée de la définition n'est pas de définir des "droites", mais de définir des "droites affines" ; et il manque un élément central à la définition, c'est que pour être une "droite affine" l'ensemble E doit en amont être une droite. Ceci étant, si c'est une droite et qu'il est doté de la structure en question (la graduation) c'est une droite "affine". Voili voilou. Donc, pour en revenir à la question de Joël DESHAIES, oui je comprends cette définition, et non ce n'est pas la définition d'une droite. C'est éventuellement la caractérisation qui permet de dire d'une droite qu'elle est affine, ce qui est une autre question.
Cordialement, Biem (d) 16 décembre 2012 à 20:25 (CET)[répondre]
L’ensemble E peut être une droite au sens usuel, un carré (plein ou vide), le plan tout entier, ou l’ensemble des fonctions de N dans {0;1}, ou n’importe quoi ayant la puissance du continu ; il ne faut pas le voir comme un objet géométrique, du moins pas au départ. Ensuite, on pose dessus une structure (la graduation), et c’est le couple (E ; structure), et non pas E tout seul, que cette définition choisit d’appeler « droite affine ». De fait, on a bien construit un espace affine de dimension 1, ce qui s’appelle aussi une droite affine.
De toute manière, c’est juste une définition, pas un théorème. En soi, elle n’affirme rien, elle n’est pas contradictoire, et elle a bien le droit de donner les noms qu’elle veut.
Le risque de confusion vient de ce qu’on appelle souvent « droite affine » une droite dans un espace vectoriel, par abus de langage, pour dire qu’elle ne passe pas nécessairement par l’origine. Il ne s’agit pas de ça ici. l’espace affine défini ici ne se trouve à l’intérieur de rien.
Et par ailleurs, dans d’autres contextes, on définit effectivement des droites autrement, sur d’autres corps que R, et des droites n’ayant qu’un nombre fini de points ; ce n’est simplement pas le cas ici.
Grasyop 16 décembre 2012 à 21:29 (CET)[répondre]
Je réponds en vrac : oui, cette « définition » (ou « caractérisation » ? « propriété » ?) est bancale. C’est une tentative de définition intrinsèque de la droite affine. Pas quelque chose de métrique en effet : n'importe quoi qui est muni d’une famille de transformations qui en fait une droite (et comme c’est malpropre, on prend R comme référence ; il faudrait en fait travailler directement sur le groupe de transformations). On peut par exemple coller une structure de droite affine sur une sinusoïde (du coup cette sinusoïde, si on la voit comme un ensemble isolé, est une droite affine ; la compatibilité de sa structure de droite affine avec la structure affine du plan est un autre problème). Le seul avantage de cette définition c’est qu'on n’a pas besoin de supposer que le plan euclidien ou tout autre objet plus complexe que la droite a été défini avant la droite... c’est sans doute ce qui motive tout ça. Personnellement je ne suis pas fan, je l’ai déjà dit. Je ne suis d’ailleurs pas fan de Bourbaki. Je note également qu'apparemment, beaucoup de monde a compris cette définition, moyennant un peu de réflexion. Bref, cette définition est très critiquable, mais elle n’est pas incompréhensible. rv1729 16 décembre 2012 à 21:51 (CET)[répondre]

Est-ce que ce qui a voulu être fait, ne serait pas, tout bêtement, de recopier la définition abstraite de variété et de l'adapter à l'objet droite (réelle, affine) ? C'est un premier exemple de fait un peu artificiel, mais on peut concevoirqu'on ait pu penser que ce serait une bonne introduction à celle plus générale.

changement...[modifier le code]

Bonjour,j'aimerais que vous revérifiez comme je l'ai fais le nord magnétique,j'ai trois boussoles a la maison et sur les trois le nord serait décalé de plus ou moins 20 degrée depuis quelque jours,pouvez vous me trouver quelqu'un qui double vérifirait ce que je constate??

odilon38

Bof, dans 5 jours tout ça ne servira plus à rien... --MGuf (d) 16 décembre 2012 à 18:04 (CET)[répondre]
Surtout, ne posez pas vos trois boussoles l'une à côté de l'autre lorsque vous faites vos vérifications. Allez, à la semaine prochaine (ou pas...) Cobra Bubbles Dire et médire 16 décembre 2012 à 18:09 (CET)[répondre]
… c'est important de ne pas perdre le nord pour ne pas être à l'ouest. — Hautbois [canqueter] 16 décembre 2012 à 20:48 (CET)[répondre]
Ce qui est important de vérifier avant toute masure, c'est la justesse de l'appareil de mesure dans son environnement. En particulier, un point : est-ce que la boussole est sensible à des perturbations extérieures? Clairement oui! Pour mesurer l'angle formé entre Nord Magnétique et Nord Vrai (ou Nord géographique); il faudra se placer dans les meilleures conditions : Pas d'aimant à proximité, pas de masse ferreuses (ou ferro-magnétique) à proximité et pas de champ électrique à proximité.
Ensuite, dans ces conditions, le nord ne devrait pas trop bouger. Normalement ca varie de quelques minutes d'ange chaque année, mais ca dépend de l'endroit. Mitch-Mitch 17 décembre 2012 à 13:32 (CET)[répondre]
CQui (d) Une cause probable est que les boussoles sont les unes a coté des autres et donc sont influencées par les deux autres bousolles presentes pendant les essais. Il faudrait donc placer une boussole dans un endroit bien degagé, noter la direction indiquée, ranger cette boussole et placer au meme endroit la suivante, noter la direction et repeter pour l'autres boussole a essayer. enfin comparer les resultats. Une chose plus importante que la precision, pour un outil de mesure, est la reeptabilité, c'est a dire savoir si deux mesures dans le meme condition donnent le meme resultat. il faudrait refaire l'essai pour chaque boussole, au moins 5 fois, et noter que les boussoles de mauvaise qualité ne donnent pas toujours le meme resultat a chaque fois. --17 décembre 2012 à 14:54 (CET)[répondre]

Traitement de variable entre points d'exclamation (fichier batch sous XP)[modifier le code]

Question déplacée sur la page de la semaine actuelle (semaine 51) Mitch-Mitch 17 décembre 2012 à 10:31 (CET)[répondre]